+Thailande+ Le Grpe Rank enquête sur le licenciement du secr
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+Thailande+ Le Grpe Rank enquête sur le licenciement du secr
Le Groupe néo-zélandais Rank va envoyer son Directeur RH pour examiner la situation chez SIG Combibloc à Ryaong, Thaïlande, où la direction locale cherche à licencier le secrétaire général du syndicat.
Le Groupe néo-zélandais Rank va envoyer son Directeur RH pour examiner la situation chez SIG Combibloc à Ryaong, Thaïlande, où la direction locale cherche à licencier le secrétaire général du syndicat.
La décision d’envoyer le directeur RH, Kevin Mackenzie la semaine prochaine pour mener une « enquête indépendante » fait suite aux protestations envoyées au Groupe en début de semaine par les syndicats d’UNI Graphique du monde entier et aux appels lancés au Premier Ministre néo-zélandais, Helen Clarck, pour qu’elle intervienne dans ce conflit.
Les deux affiliés d’UNI Graphique en Nouvelle-Zélande – EMPU et NDU – ont fait fortement pression sur l’entreprise pour qu’elle résolve le conflit.
L’entreprise a exprimé clairement qu’elle parlerait aux syndicats avant et après la visite à Rayong. Quant aux syndicats, ils prient instamment M. Mackenzie de rencontrer Thanetn Jhanluechai, le secrétaire général qui fait l’objet d’une procédure devant le Tribunal du travail.
« C’est une bonne nouvelle mais cela ne signifie pas que notre travail soit terminé » a déclaré Adriana Rosenzvaig d’UNI Secteur graphique lors d’une réunion des syndicats graphiques d’Europe méridionale, d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient à Istanbul. « Nous maintiendrons la pression et attendrons l’issue de la visite ».
Thanetn a été suspendu par SIG Combibloc – acheté par le Groupe Rank – pour avoir parlé aux adhérents lors des tentatives de la direction de faire travailler le personnel pendant le Nouvel An thaï sans compensation de salaire. Selon la loi thaïlandaise, une société doit obtenir l’autorisation du Tribunal du travail avant de licencier un représentant syndical, et une audience doit avoir lieu ce mois.
« Il est très important que les délégués syndicaux puissent parler librement à leurs adhérents si l’on veut que les droits du travail établis par l’Organisation internationale du Travail aient un sens » a déclaré Adriana. « Et il est important pour les syndicats de Nouvelle-Zélande que cette entreprise se comporte bien lorsqu’elle s’implante dans une autre pays ».
Source : http://www.union-network.org/
Le Groupe néo-zélandais Rank va envoyer son Directeur RH pour examiner la situation chez SIG Combibloc à Ryaong, Thaïlande, où la direction locale cherche à licencier le secrétaire général du syndicat.
La décision d’envoyer le directeur RH, Kevin Mackenzie la semaine prochaine pour mener une « enquête indépendante » fait suite aux protestations envoyées au Groupe en début de semaine par les syndicats d’UNI Graphique du monde entier et aux appels lancés au Premier Ministre néo-zélandais, Helen Clarck, pour qu’elle intervienne dans ce conflit.
Les deux affiliés d’UNI Graphique en Nouvelle-Zélande – EMPU et NDU – ont fait fortement pression sur l’entreprise pour qu’elle résolve le conflit.
L’entreprise a exprimé clairement qu’elle parlerait aux syndicats avant et après la visite à Rayong. Quant aux syndicats, ils prient instamment M. Mackenzie de rencontrer Thanetn Jhanluechai, le secrétaire général qui fait l’objet d’une procédure devant le Tribunal du travail.
« C’est une bonne nouvelle mais cela ne signifie pas que notre travail soit terminé » a déclaré Adriana Rosenzvaig d’UNI Secteur graphique lors d’une réunion des syndicats graphiques d’Europe méridionale, d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient à Istanbul. « Nous maintiendrons la pression et attendrons l’issue de la visite ».
Thanetn a été suspendu par SIG Combibloc – acheté par le Groupe Rank – pour avoir parlé aux adhérents lors des tentatives de la direction de faire travailler le personnel pendant le Nouvel An thaï sans compensation de salaire. Selon la loi thaïlandaise, une société doit obtenir l’autorisation du Tribunal du travail avant de licencier un représentant syndical, et une audience doit avoir lieu ce mois.
« Il est très important que les délégués syndicaux puissent parler librement à leurs adhérents si l’on veut que les droits du travail établis par l’Organisation internationale du Travail aient un sens » a déclaré Adriana. « Et il est important pour les syndicats de Nouvelle-Zélande que cette entreprise se comporte bien lorsqu’elle s’implante dans une autre pays ».
Source : http://www.union-network.org/
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